Chroniques victoriennes
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Les aventures d'une coterie de vampires français à l'ère victorienne.
 
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 Partie 19 - Balade en Grèce, l'Okturios et un Tzimisce en moins

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Partie 19 - Balade en Grèce, l'Okturios et un Tzimisce en moins Empty
MessageSujet: Partie 19 - Balade en Grèce, l'Okturios et un Tzimisce en moins   Partie 19 - Balade en Grèce, l'Okturios et un Tzimisce en moins Icon_minitimeMar 1 Juil - 20:48

Suite à sa diablerie sur Agrilla, Queyrons se prend d'affection pour les araignées et les rats. La fouine (un Nosfératu qu'Antos a chargé de veiller sur lui dans les égouts) lui montre le réseau des égouts. Le régent est pas content de son absence à la fondation.
La servante que Lafarge attendait d'Écosse arrive mais décapitée. Il est énervé. Les dunsirns ont décidé de se rappeler à son bon souvenir.
Antos file à Queyron un pendentif pour cacher son aura de diableriste. Lafarge lui redonne son ancienne apparence et le régent accepte de le garder à Paris mais uniquement dans l'hôtel particulier de Lafarge (mouhahaha Smile.
Queyron et Lafarge se rendent au Louvre où Erika de Valbourg les met au courant d'une future tentative des disciples d'Ankal pour se procurer une arme en Grèce (l'Okturios).
Elle confie à Queyron une broche en forme d'araignée qui annule temporairement ses "voix" intérieures.
Lafarge lui explique qui sont les disciples d'Ankal : une société secrète composée de vampires qui recherchent les artefacts d'un ancien mathusalem dans l'espoir de le réveiller.
Lafarge fait une psychokinésie sur Queyron et tous deux ont une vision : c'est l'antiquité. Une demi-douzaine de mages humains s'apprête à affronter une armée composée d'être vivants mais aussi de créatures hybrides osseuses (que nous avions rencontré la première fois à la basilique Saint Anne lors de la deuxième partie) employées par les disciples d'Ankal. Des sorts colossaux sont lancés. Ces mages sont ensuite aidés par deux vampires : un adepte de la thaumaturgie encapuchonné et un certain Menele qui lui est une brute au corps à corps. Affrontaient-ils Ankal lui-même ?
Nous nous rendons en Grêce au moyen d'un dirigeable mis à notre disposition par Erika : le "Certitude".
Durant le vol Jacques Queyron se retrouve incrusté dans une paroi (pendant son sommeil) d'où l'extrait Lafarge grâce à sa maîtrise de la Vicissitude. Lafarge tombe également inconscient après avoir fait un étrange rituel utilisant un livre encore inconnu pour Queyron afin de dissiper une tempête surnaturelle qui menaçait le dirigeable.
Un soir Queyron se réveille sans ses dérangements mais en ayant ouvert le Morchokar (à la page de la Nécromancie - voie des ossements). Visiblement le Morchokar aurait dévoré les reliquats de l'âme de la Nosfératu que Queyron n'avait pas encore fini de digérer (et ses dérangements avec).
On arrive à destination et nous sommes accueillis par un des membres de la "société du crépuscule" : le Brujah Ekiros. Ekiros nous met en contact avec un archéologue humain visiblement lui aussi membre de la "société du crépuscule" : Joseph.
On va se présenter au prince d'Athènes : le malkavien Peisistratos.
Joseph nous indique une chapelle où on trouve une inscription en grec ancien "Des mains du Christ est né le coeur des étoiles". Nous sommes attaqués par un Nosfératu et 4 Gangrels que l'on détruit ou met en fuite.
On trouve une autre inscription en latin : "Le sang du Christ se mêle au flot du sanctuaire des saints".
Joseph nous donne la solution : "Des mains d'Ephaïstos est né le présent forgé. Le présent forgé du boiteux repose dans le val de Borali". On s'apprête donc à partir pour le val de Borali à l'est d'Athènes mais avant ça nous sommes capturés et pieutés par le prince qui nous accusé d'avoir attenté à la vie de son infant.
Nous sommes sauvés de justesse du buché par Karl Shreck (justicar Tremere) qui indique au prince qu'il s'est fait berné lui et son infant par Yaros Malinkof, un tzimisce qu'il désigne dans la foule réunie pour l'occasion (celui là même que la coterie avait démasqué à Paris et mis en fuite lors de la 7ème partie).
Après cette petite explication nous nous rendons au val de Borali. On y trouve une entrée vers une structure souterraine. On y est confronté à des pièges d'origine physique et magique et finalement on met la main sur un immense marteau qui est visiblement le deuxième artefact d'Ankal.
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