Durant le voyage à bord du San Sebastian en direction d'Abouqir, on se réveille un soir aux cotés de Brunel qui a été mystérieusement téléporté de Paris à bord de notre cabine. Il est aussi étonné que nous, s'attendant à se réveiller dans son lit à Paris.
On arrive à Abouqir et on se rend au Caire à bord d'une charrette tirée par un âne ...
On découvre la fondation qui est en fait un magnifique musée (le régent s'appelle Kasper Aupfholme).
Nous allons nous présenter au Prince du Caire qui est un caïtiff nommé Muktar Bey (il se trouve à l'opéra sur l'ile de Zamalik qui est aussi un Elysium).
Sylvain Brunel échoue à rappeler notre conducteur de charrette ...
Un gamin accepte de nous conduire à l'opéra sur l'ile de Zamalik.
On retourne à la fondation Tremere et le régent nous raconte l'histoire d'Isis et de ses deux larmes de sang qu'elle versa lors de la mort d'Osiris (la larme du Nil et la larme du sable).
On va également rencontrer un certains Duval, un notable Toréador, primogène, qui gère les quais du Caire et qui pourrait en savoir davantage sur la larme du Nil car il détient un vas avec une fresque sur ce sujet.
Il n'est pas là mais son infant accepte de nous avoir un rendez-vous avec lui si nous lui rendons un petit service : pacifier les quais qui sont depuis quelques temps le lieu de violentes bagarres qui entravent donc leur bon fonctionnement. Nous acceptons.
Nous découvrons qu'en fait ces bagarres sont en fait des affrontements en Séthites et Assamites. Nous exterminons l'un de ces groupes et dispersons le deuxième, non sans prendre de sérieuses blessures lorsque nous sommes confrontés à des tireurs embusqués et à un Assamite visiblement très puissant qui nous dit de nous mêler de nos affaires.
Après ce petit service rendu, Duval nous reçoit et nous montre le vase. On découvre sur celui-ci une sorte de carte gravée qui nous indique un endroit sur le Nil. De plus sur le vas on peut voir des vampires y verser leur sang. Duval met à notre disposition une embarcation et nous nous rendons à l'endroit possible.
Lafarge puis Queyron versent leur sang dans le Nil qui s'anime de remous, devient couleur sang, et d'un tourbillon en sort un rubis de la taille d'un poing dont prend possession Lafarge : la larme du Nil (pour information : en faisant psychométrie dessus il se prend un grand coup de griffe dans la figure).
Nous prenons un bateau pour Toulon, mais avant même de pouvoir partir, nous croisons Aurore de Saint Arnaud qui s'avère en fait être Michaela Giovanni et qui nous réclame la larme du Nil. S'ensuit un combat au cours duquel Lafarge invoque le Morchokar et l'Okturios. Michaela est grandement aidée par une cohorte de spectres qui nous mettent mal en point. Heureusement nous sommes sauvés par une magicienne humaine dotée un médaillon qui relâche sur Michaela Giovanni une terrible force d'ombre (encore des Lasombras dans le coin visiblement). Michaela est mise en fuite et nous partons à bord d'un magnifique voilier en compagnie de Nathalia (la magicienne) pour relier Istambul où se trouve d'après elle le chef de l'ordre du crépuscule.
Le chef de l'ordre est en fait un Lasombra nommé Kaliostro (il a une belle charrette lui).
il nous explique tout. Il nous dit que les Giovannis cherchent à réveiller Ankal qu'ils croient être un puissant mathusalem afin de déchirer le voile qui sépare le monde des vivants et celui des morts afin d'accroître leur puissance. En fait ils se trompent sur la nature d'Ankal : ce n'est pas un mathusalem mais un puissant démon qui est emprisonné sous l'église Saint Sophie à Istambul.
Ankal avait été à l'époque invoqué suite à une erreur de la part d'une cabale de mages humains qui demandèrent l'aide des caïnites de Carthage pour l'aider à le mettre hors d'état de nuire. Hélas avant d'être emprisonné par cette alliance de caïnites et de mages, Ankal créa trois artefacts afin de pouvoir un jour, en corrompant leurs possesseurs, se libérer.
Kaliostro nous dit qu'il veut libérer Ankal afin de le détruire, c'est à dire le renvoyer dans les abysses d'où il vient, en utilisant le sang de Lafarge.
on se rend donc avec Kaliostro sous Saint Sophie. On libère Ankal et pendant que Kaliostro l'occupe, Lafarge parvient à planter une de ses protubérances osseuses dans le cœur d'Ankal qui est bannis (on passera sous silence que pendant le combat, Queyron a tenté de faire un vol de sang sur Ankal, empêché dans son acte idiot par Kaliostro).
Nous rentrons à Paris et sur le quai de la gare nous croisons Philippe de Nevers qui est en fait un Lasombra membre aussi lui aussi de l'ordre du crépuscule.
Lun 28 Juil - 12:14